• la pratique avant tous


    être spirituel c'est avant tous donner de l'amour autour de soi, comme ont dit le sage anseigne par ses actes et non par ses paroles, peut importe nos religions, peut importe nos croyances le but c'est qu'on soi ensemble et qu'on soi solidaire, la terre deviendrai un paradis si tous les hommes le voudrai tous dépend de nous.


    7 commentaires
  • L'importance de l'ancrage ou enracinement




    Lorsqu'on n'est pas du tout ancré, on est ballotté par la moindre émotion comme un fétu de paille sous le vent. S'ancrer permet donc de gagner en stabilité. Les personnes nerveuses ou distraites sont en général peu ancrées tandis que les personnes posées et présentes sont mieux enracinées.


    De nombreuses personnes craignent de perdre leur intérêt pour la spiritualité en s'ancrant. Elles ont peur de devenir matérialistes et de perdre le contact avec les mondes subtils

    Pourtant, le contact avec la terre est indispensable à toute élévation spirituelle véritable. Un cerf-volant ne peut voler haut dans le ciel que parce qu'il est retenu à la terre. S'il ne l'était pas, il serait entraîné au loin par le vent et retomberait très vite.


    D'ailleurs, les sages sont tous des gens parfaitement ancrés. Quand vous les rencontrez, ce qui frappe chez eux est leur très grande qualité de présence

    Je vous propose ci-dessous deux méditations qui vous aideront à vous ancrer. Recevoir l'initiation des pieds au reiki n'est pas indispensable pour les pratiquer mais les rend plus efficaces.

    Une méditation simple destinée à s'enracine


    Cette première méditation s'adresse aux personnes ayant reçu l'initiation au reiki

    Asseyez vous confortablement sur une chaise ou un fauteuil avec les pieds, idéalement déchaussés, posés à plat sur le sol. Fermez les yeux et détendez vous. Sentez le reiki s'écouler de vos pieds vers la terre. Si vous habitez en étage, le sol fait office de terre. Il lui est d'ailleurs relié par l'intermédiaire de la structure du bâtiment.

    Posez les paumes de vos mains sur vos cuisses. Sentez le reiki s'écouler de vos mains dans vos cuisses, circuler à travers vos jambes, descendre vers vos pieds et rejoindre la terre.

    Méditez ainsi aussi longtemps que vous le souhaitez en gardant votre attention sur le flot de reiki circulant en vous et descendant vers la terre. Si vous constatez que votre attention a dérivé, ramenez-la tranquillement vers le flot de reiki et la terre. Ne cherchez pas à vous forcer ou à trop vous concentrer. Simplement, lorsque vous constatez que votre attention a dévié, ramenez-la en douceur vers la sensation de reiki s'écoulant vers la terre.

    Pratiquez cette méditation autant et aussi peu qu'il vous semblera bon. Quelques minutes peuvent vous suffire. Ne vous forcez pas à continuer quand vous en avez assez.

    Cette méditation est très simple mais puissante. N'en sortez donc pas trop brutalement. Afin de revenir vers une activité cérébrale normale, commencez par laisser vaquer votre esprit deux ou trois minutes puis ouvrez doucement les yeux. Vous pouvez pour cela les ouvrir une fraction de seconde, les refermer, les ouvrir un peu plus longtemps puis les fermer à nouveau… jusqu'à ce que vous vous sentiez prêt à sortir définitivement de méditation.



    Une méditation d'ancrage basée sur la respiration

    Cette méditation est un peu plus puissante que la précédente car elle favorise une plus grande qualité de présence. Elle est aussi un peu plus exigeante mais elle peut être pratiquée par une personne n'ayant pas reçu d'initiation reiki.

    Si vous pratiquez le reiki, je vous suggère donc de vous contenter de la méditation simple ci-dessus avant de passer à celle-ci. Vous pouvez aussi commencer par la première puis enchaîner avec la seconde.

    Le début est le même que pour la méditation précédente : asseyez vous confortablement sur une chaise ou un fauteuil avec les pieds déchaussés posés à plat sur le sol. Fermez les yeux et détendez vous en posant les paumes de vos mains sur vos cuisses.

    Vous allez maintenant utiliser votre respiration comme support de méditation. Veillez à toujours laisser votre respiration garder son rythme naturel, sans la forcer ou la restreindre. Si vous constater que votre respiration se ralentit, c'est très bien, laissez la faire. Mais ne cherchez pas à provoquer ce changement qui doit venir de lui-même… ou ne pas venir selon les cas.


    Inspirez tranquillement en étant conscient que l'énergie de l'univers emplit vos poumons. Sentez l'énergie pénétrer en vous et voyez-la comme un brouillard constitué d'une myriade de particules dorées. Selon vos préférences et vos aptitudes sensorielles, il se peut que vous ressentiez ou visualisiez mieux l'énergie, cela n'a pas d'importance. Tout ce qui compte est d'être conscient que l'énergie universelle de vie vous emplit lorsque vous inspirez.

    À l'expiration, sentez et voyez cette énergie descendre dans votre buste, passer à travers vos jambes puis vos pieds et rejoindre la terre.

    Continuez à respirer ainsi de la manière la plus naturelle qui soit en inspirant l'énergie et en l'expirant vers vos pieds.

    Cette méditation vous emplira d'énergie tout en vous centrant et en vous apaisant. Vous pouvez la pratiquer pendant aussi longtemps que vous en éprouvez le besoin. À l'inverse, ne vous forcez pas à continuer quand vous en avez assez. Quelques minutes peuvent vous suffire.

    Comme toujours après une méditation profonde, ne sortez pas trop vite. Je renouvelle donc les conseils donnés plus haut. Avant de reprendre vos activités quotidiennes, laissez vaquer votre esprit deux ou trois minutes. Ensuite, ouvrez doucement les yeux. Vous pouvez pour cela les ouvrir une fraction de seconde, les refermer, les ouvrir un peu plus longtemps puis les fermer à nouveau… jusqu'à ce que vous vous sentiez prêt à sortir définitivement de méditation.


    Conclusion

    Mieux vous enraciner est de loin l'attitude la plus spirituelle que vous puissiez avoir et c'est elle qui, justement, vous permettra de vous élever toujours plus haut en toute harmonie.

    Je vous souhaite paix et plénitude dans vos retrouvailles avec la terre et avec vous-même.

    source:http://www.activations-energetiques.com/articles/meditation-ancrage.htm







    votre commentaire
  • L'effet placebo

     

    QU’EST-CE QUE L’EFFET PLACEBO ? (09 janvier 2003)

    L’effet placebo est un effet subjectif, mais réel, produit sur une personne par un médicament n’ayant pas d’efficacité démontrée.

    Prenez la vitamine C, vitamine indispensable à l’équilibre de l’organisme. Une carence en vitamine C, comme en souffraient autrefois des marins restés longtemps en mer, provoquait une maladie qu’on appelait le scorbut et qui se manifestait en particulier par une fatigue. Le jour où les marins ont emporté à bord des fruits frais - en en particulier des citrons, qui se conservent longtemps - ils n’ont plus souffert de la fatigue du scorbut. Depuis, on sait que la vitamine C des fruits permet de soigner la fatigue du scorbut, mais chez un français vivant en l’an 2003, cet effet n’existe pas. Par conséquent, si après avoir pris de la vitamine C, vous vous sentez requinqué, c’est que vous bénéficiez d’un effet placebo.

    Quand, affligé d’un terrible mal de crâne, vous avalez deux comprimés d’aspirine, si vous vous sentez déjà mieux au bout de dix minutes, ce n’est pas parce que l’aspirine fait déjà son effet (elle est encore dans votre estomac) mais grâce à l’effet placebo. Ce qui veut dire que même les médicaments efficaces sont doués d’effet placebo !

    L’effet placebo n’est pas seulement véhiculé par les médicaments. Quand un parent pose un baiser sur le bobo d’un enfant, si l’enfant cesse vite de pleurer, ce n’est pas la magie du baiser qui l’a soulagé, mais son effet placebo. Quand un patient entre chez le médecin avec des symptômes inquiétants et en ressort en souffrant moins après que le médecin lui a expliqué que ses symptômes sont bénins, c’est encore grâce à l’effet placebo. Michael Balint, psychiatre anglais qui a beaucoup écrit sur la relation médecin-patient, expliquait d’ailleurs que le premier médicament du médecin, c’est le médecin lui-même. Et dans toute relation thérapeutique, le respect mutuel que s’accordent soignant et patient se concrétise par un fort effet placebo.

    L’effet placebo découle de la confiance de l’utilisateur dans le médicament qu’il absorbe, mais ce n’est pas un effet magique - il déclenche, à l’intérieur du cerveau, la sécrétion de substances appelées endorphines, qui soulagent la douleur et divers autres symptômes. Autrement dit, l’effet placebo est la conséquence biochimique d’une suggestion symbolique.

    L’effet placebo n’est pas négligeable : certaines expériences ont montré qu’un placebo administré avec conviction soulageait nettement des patients souffrant de douleurs intenses. L’effet placebo peut être inversé : si le médecin suggère à son patient qu’un médicament peut le rendre malade, celui-ci éprouvera des effets désagréables - c’est ce qu’on appelle un effet nocebo.

    L’effet placebo est de courte durée. Lorsqu’on administre un placebo aux personnes les mieux disposées, ses effets bénéfiques durent deux ou trois jours, au plus. Ensuite, les symptômes réapparaissent. Mais cette courte durée d’action convient à la plupart des maladies, qui sont bénignes, ne durent que quelques jours et guérissent spontanément. C’est le cas, par exemple, des rhinopharyngites de l’enfant, des douleurs musculaires diverses et variées, des lourdeurs dans les jambes, de la crise de foie, de la gueule de bois, etc.

    Vous aurez compris que parmi la pléthore de médicaments commercialisés en France, la grande majorité n’ont qu’un effet placebo. L’industrie pharmaceutique, qui ne cesse de pleurer sur le coût de la recherche, nous fait donc avaler des couleuvres et non des substances efficaces. Mais je vois que mes trois minutes sont écoulées... Demain, pour clore ce triptyque consacré au médicament, je vous parlerai de l’homéopathie...

    A lire :

    Petite encyclopédie critique du médicament, Pr Claude Béraud, Editions de l’Atelier, 2002

     

     

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires