• LE MYSTERE DES CARTES ANTIQUES
    Les rivages de l'Antarctique sans aucune glace


    LA CARTE DE PIRI REIS

     

     

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    (1) Le Japon de la mappemonde de Martin Behaim (1492) comparé avec la zone des Caraïbes de la carte de Piri Reis.


    LA CARTE D'ORONTEUS FINAEUS

     

     

     

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    - 6000 avant J.C. est l'époque où l'homme serait sortit de ses grottes et aurait commencé à se "civiliser" au Moyen-Orient. Or il semble bien que l'ensemble de la planète ait été cartographié. De plus, il faut souligner le fait que ce ne sont pas seulement des cartes côtières, car on y trouve également les chaînes montagneuses à l'intérieur des continents avec leurs altitudes. En plus d'être de fameux marins, ils devaient également être de sacrés explorateurs.

    Cette civilisation inconnue (les Atlantes?) a disparu. Elle a transmis, sans doute aux Egyptiens, des bribes de ses connaissances mais pas son savoir-faire. Ce que nous savons de l'antiquité nous montre que la connaissance n'était pas partagée, mais réservée à une élite dirigeante dont le pouvoir était justement assis sur cette supériorité. Comme de nos jours?

     


    LA CARTE "SATELLITAIRE" DE PIRI REIS
    envoyé par OVNICORAN

     

    Les cartes originales entreposées à la Grande Bibliothèque d'Alexandrie ont été copiées, compilées et sans doute transférées dans les cités les plus rayonnantes comme Constantinople qui fut reprise par les Vénitiens ( grands navigateurs ) en 1204, puis diffusées d'une manière très confidentielle. Ces portulans avaient non seulement une très grande valeur marchande mais ils étaient également du plus haut intérêt sur le plan militaire et commercial.

    Tous ces éléments semblent donc bien démontrer qu'il a existé, il y a au moins 6 000 ans, une civilisation inconnue possédant :
    - Une connaissance des mathématiques extrêmement sophistiquée : Trigonométrie sphérique, Translation trigonométrique, Projection cordiforme et Conversion de coordonnées polaires et rectangulaires.
    - Une parfaite connaissance de la rotondité de la Terre.
    - Des instruments de mesure très précis permettant de mesurer notamment la longitude avec une finesse atteinte seulement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
    - Des moyens de navigation qui nous sont inconnus, des navires robustes, ou bien... certains experts affirment que la précision des tracés n'a pu être obtenue qu'à l'aide de relevés aériens...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mercator lui-même, dans son Atlas de 1569, montre l'Antarctique avec des éléments encore plus précis que ceux d'Oronte Fine.

    Sa description de l'Antarctique est plus précise que celle de l'Amérique du sud et de l'Afrique du sud, pourtant élaborée à partir des rapports de ses contemporains, et jugée plus fiable.

    Les travaux de Mercator devaient populariser la théorie de l'existence d'un passage par le nord-ouest. En 1538, année de la parution de sa première mappemonde, le cartographe était de plus en plus connu et respecté. La mappemonde qu'il réalisa en 1569 comptait parmi les plus magistrales dessinées jusqu'à cette époque. La mappemonde d'Abraham Ortelius, qui parut l'année suivante, fait partie d'une compilation originale qui constitue essentiellement le premier atlas moderne. Elle fait également date dans l'histoire de la cartographie.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Carte de Ptolémée
    Datant du IIe siècle et retrouvées au XVe siècle, montrent le Groenland non entièrement recouvert de glace et des glaciers en Suède tels qu'ils étaient il y a 10 000 ans.

    Carte chinoise
    Une carte gravée sur un pilier en 1137, tracée selon une grille faisant appel à la trigonométrie sphérique ( technique utilisée dans les autres cartes occidentales citées ).

    Divers portulans, notamment celui de Dulcert ( 1339 ), d'une précision de notre temps, sur la Méditerranée et l'Europe de l'Irlande à la Russie. Les latitudes y sont parfaitement exactes et l'erreur maximale des longitudes est inférieure au demi-degré.

    Carte d'Ibn Ben Zara ( 1487 ) montre l'Europe du nord et son glacier tel qu'il était il y a 12 000 ans et la Méditerranée dont le niveau correspond à celui qui existait à la dernière période glacière. Là encore la précision des longitudes est étonnante.

    Carte De Carneiro
    Cette carte du portugais De Carneiro date de 1502. Elle représente toutes les côtes d'Afrique avec une grille utilisant également la trigonométrie sphérique..

    Carte d'Andrea Benincasa
    Datant de 1508 c'est une carte de la mer Baltique avec ses glaciers disparus depuis 10 000 ans.

    Carte de Jorge Reinel
    Datant de 1510, elle qui montre l'Océan Indien avec une étonnante précision des longitudes.

    Carte d'Hadji Ahmed
    Carte turquie de1559, elle représente l'Amérique avec une précision qui ne sera égalée que deux siècles plus tard ; elle montre également une terre entre la Sibérie et l'Alaska, là où se trouve le Détroit de Behring, cet isthme a disparu il y a environ 10 000 ans.

     

    AUTRES CARTES DECOUVERTES

     

    LA CARTE DE MERCATOR

     

     

    LA CARTE DE ZENO

     

     

     

     

    La carte de Zeno ( 1380 recopiée en 1558 ) montre le Groenland sans glaces, avec ses montagnes et des îles inconnues.

    Nicolo Zeno dessina une carte de l'Atlantique nord qui s'avéra très influente. Elle aurait été basée sur les voyages océaniques effectués par des membres de la famille du cartographe dans les années 1380, quoiqu'il n'existe aucune preuve que ces voyages aient effectivement eu lieu.

    La plupart des caractéristiques géographiques qui figurent sur cette carte sont positionnées à une latitude trop septentrionale, ce qui, plus tard, confondit les cartographes et amena Frobisher à croire qu'il avait visité l'île dite de Friesland alors qu'en fait, il s'était rendu au Grœnland.

     

    Carte d'Oronteus Finæus date de 1531. Elle décrit l'Antarctique avec une très grande précision et dégagé d'une grande partie de sa calotte glacière, soit tel qu'il était il y a au moins 6 000 ans. Outre les côtes dépourvues de glace, les fleuves, les chaînes montagneuses intérieures découvertes assez récemment, elle indique également le pôle sud ! Dpuis, l'étude des carottes de glace permet aux scientifiques de remonter le temps jusqu'à 150 000 ans en arrière.
    Des chercheurs ont ainsi découvert que des rivières telles que celles figurant sur la carte d'Oronteus Finaeus ayant existées en Antarctique, quelque 4000 ans avant J.-C. Cependant, il se pourrait que cette " Terre Australis " soit une représentation de l'australie.

    Ci-contre: Carte D'Oronteus Finaeus (cliquer pour agrandir)

     

    Cette carte peut paraître inexacte, si l'on est habitué aux cartes Mercator, mais pas si l'on est familier des projections stéréographiques polaires ( plus précisément c'est une projection cordiforme ). Cette carte faisait sans doute partie d'un ensemble qui constituait une mappemonde plus complexe. Pour d'autres, la carte est mal faite et c'est par exemple le Japon que l'on peut distinguer en haut à droite (1)

     

    En 1929, lors de la réfection du musée du palais Topkapi Sarayi d'Istanbul, le directeur des musées nationaux turcs, M. Halil Edem mit la main sur la fameuse carte en peau de gazelle de Piri Reis, peinte en 1513. Cette carte représente l'Océan Atlantique avec une partie des côtes américaines, africaines et de l'Antarctique. La carte de Piri Reis a fait l'objet de nombreuses études. Il ressort de ces études que cette carte est impossible, hors de son temps, compte tenu des connaissances de l'époque pour de nombreuses raisons : (cliquer pour agrandir la carte).

     

     

    L'île de Marajo à l'embouchure de l'Amazone n'a été découverte qu'en 1543.

    Les îles Malouines ne seront découvertes qu'en 1592.

    Les Andes sont représentées, elles ne sont pas encore connues.

    Le Lama, mammifère typique de l'Amérique du sud, est peint sur les Andes, il a été identifié en 1598 par les Espagnols.

    Les grandes îles au-dessus de l'équateur, inconnues, correspondent aux haut-plateaux sous-marins des îlots St Pierre et St Paul, sur la Grande Dorsale Atlantique ( ont personne ne soupçonnait l'existence).

    On y voit les côtes de l'Antarctique qui ne sera découvert qu'en 1818 soit 300 ans plus tard.

    L'Amérique du sud est reliée à l'Antarctique par un isthme qui a disparu il y a 10 000 ans

     

     

     

     

     

     

    Piri Reis a écrit sur sa carte, en notes et dans son Bahriye que " Personne n'a au temps actuel une carte comme celle-là ". Ces cartes ont été dressées selon les données de chartes, des portulans de quatre Portugais qui montrent le Sind, le Hind et la Chine et d'une carte dessinée par Christophe Colomb. Elles sont aussi justes pour la navigation sur les sept mers que les cartes de nos pays." Piri Reis déclare aussi avoir compilé sa carte à partir de vingt autres provenant de la Grande Bibliothèque d'Alexandrie et datant au moins du IVe siècle av. J.C.

    L'élément le plus troublant, celui qui soulève le plus de questions : Les rivages de l'Antarctique que l'on peut voir sont ceux de la Terre de la Reine Maud sans aucune glace ! Nous avons eu la confirmation de ce tracé qu'en 1949 après les relevés sismiques d'une expédition anglo-suédoise. Or, même s'il existe encore quelques scientifiques qui continuent à prétendre que la calotte entière est vieille de plusieurs millions d'années, d'autres admettent la possibilité que cette partie de l'Antarctique ait pu être dégagée de ses glaces pendant environ 9 000 ans, il y a au moins 6 000 ans.

     

     

    Une civilisation inconnue ( les Atlantes? ) et disparue aurait-elle transmise, sans doute aux Egyptiens, des bribes de ses connaissances? Ce que nous savons de l'antiquité nous montre que la connaissance n'était pas partagée, mais réservée à une élite dirigeante dont le pouvoir était justement assis sur cette supériorité.


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  • Civilisations extraterrestres

     

    Les petits gris

    les E.T de roswell

     

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     Les annunakis (dieu sumérien)

    les annunakis

    http://secretebase.free.fr/civilisations/sumeriens/annunaki/statuettes.jpg

     

      

     les grands blond

     les grands blond

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    les chrestians

    les chrestians


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  • LES RUINES DE BAALBEK
    Etranges structures à Héliopolis la Ville du soleil

     

     

     



     

     

     

    Cette cité antique, située au Liban, dans le nord de la plaine libanaise de la Békaa, est composée de ruines de l'époque gréco-romaine avec des traces plus anciennes de l'époque sémitique. L'histoire de Baalbeck remonte au moins à la fin du IIIe millénaire av. J.-C. La ville a ensuite été baptisée Héliopolis, "ville du soleil" à cause de son ensoleillement.

    Cette cité antique, située au Liban, dans le nord de la plaine libanaise de la Békaa, est composée de ruines de l'époque gréco-romaine avec des traces plus anciennes de l'époque sémitique. L'histoire de Baalbeck remonte au moins à la fin du IIIe millénaire av. J.-C. La ville a ensuite été baptisée Héliopolis, "ville du soleil" à cause de son ensoleillement


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  • LES PIERRES DE DROPA
    Des disques en pierre peuvent contenir un message incroyable

     


    En 1962, un autre scientifique chinois décode finalement le message sur les disques.
    Le message brise tout que nous savons de l'humanité dans l'univers !


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Tei, professeur d'archéologie à l'université de Beijing, menait quelques étudiants sur une expédition pour examiner une série de cavernes dans les montagnes de l'Himalaya. Les cavernes ont pu avoir été artificiellement découpées, et étaient plus comme un système complexe des tunnels et de salles de stockage souterrains. Les murs ont été vitrifiés, comme coupés dans la montagne avec une source de chaleur extrême. À l'intérieur des cavernes ce trouvait des tombeaux antiques, disposés d'une manière ordonnée, et dans ceux-ci, les restes squelettiques de drôles de gens. Les squelettes, mesurant un peu plus de quatre pieds, ils étaient frêles et les crânes étaient disproportionnément grands.

    Tout d'abord. il a été suggéré par un membre de l'équipe que ceux-ci pourraient être les restes d'une espèce inconnue de gorille de montagne. Chi Pu Tei a répondu, "qui a jamais entendu parler de singes enterrant un autre?"

     

     

     

    Tous les faits ne sont pas clairs et, car vous comprendrez plus tard, difficiles à vérifier. Certains des détails sont contradictoires, brouillés, ou ont pu avoir été modifiés par les auteurs imaginatifs. Mais même si une partie de cette histoire est vraie, il représente une des plus grandes découvertes de notre âge.

     

    Dans les montagnes de Baian-Kara-Ula sur la frontière qui divise la Chine et le Tibet, une expédition archéologique, menée par Chi Pu Tei, a marché sur des chemins a peine accessible de cette montagne, et s'est arrêtée sur quelques cavernes qui évidemment avaient été occupées par un peuple primitif il y a bien longtemps. Mais ce que lui et son équipe cherchaient dans ces cavernes, est quelque chose de peu commun et, si vérifié, pourrait changer tout nous savons de notre passé éloigné.

     

    Cependant, quel genre d'humain était ceci ? Plus de découvertes ont étaient faites plus loin dans les cavernes. Sur les murs, des pictogrammes : le soleil, la lune, les étoiles, et la terre avec des lignes et des points les reliant.

     

     

     

     

    Puis l'équipe a fait la découverte la plus incroyable de tous : A moitié enterré dans le sol de la caverne, un disque en pierre, évidemment façonné par la main d'une créature intelligente. Le disque faisait approximativement neuf pouces de diamètre et trois quarts de pouce d’épaisseur. Au centre exact du rond, un trou, et une cannelure fine se développant en spirales du centre jusqu’au bord, comme un genre de disque primitif de phonographe.



    Le disque, est datés entre 10.000 et 12.000 ans, de loin plus vieux que les grandes pyramides d’Egypte, c’était fantastique La merveille était multipliée, en tout, 716 disques ont été trouvés. Et chacun a tenu un secret incroyable. La cannelure, lors davantage d'inspection, n'était pas une cannelure du tout, mais une ligne continue de hiéroglyphes, étranges écriture !

     

    Les caractères minuscules et presque microscopiques étaient dans une langue jamais vue avant. Ce n'ait qu'en 1962 qu'un autre scientifique chinois pourra décoder le message des disques en pierre - un message si incroyable que le département de préhistoire de l'académie de Beijing a interdit d’éditer sa traduction. Par la suite, le message a été édité, et ce qui est indique vous étonnera

     

    UN MESSAGE

     

     

     

    Le Dr Tsum a touché la face lisse du disque avec la paume de sa main. "Qu’est ce que pourrait être ce disque?" s'est-il demandé. Il a su son histoire récente; comment il a été découvert en 1938 par un archéologue chinois dans une caverne dans l’Himalaya, avec 715 disques semblables ; comment il était enterrés tout près des squelettes d'une tribu étrange de personnes faisant en moyenne seulement plus de quatre pieds de haut ; comment on a constaté que chaque disque a été inscrit avec une cannelure minuscule qui s'est développée en spirales autour de sa face, et que la cannelure s'est avérée être un hiéroglyphe inconnu. Il a également su que les disques, aussi remarquables qu'ils soient, avaient été simplement stockés à l'université de Beijing pendant 20 années. Pendant ce temps, d'autres avaient essayé de déchiffrer les inscriptions étranges, mais sans succès. Peut-être maintenant, en 1962, il pourrait.

    Le professeur a soigneusement retranscrit les caractères à partir du disque. L'écriture était si petite qu’il a dû utiliser une loupe pour la voir clairement. Mais elle était vieille - peut-être 12.000 ans, a t’on estimé. Pendant qu'il travaillait, beaucoup de questions ont harcelé le professeur. Comment ces personnes primitives gravaient ces pierres avaec autant de précision ? Comment ont-ils contrôlé l'écriture presque microscopique ? Qui étaient-ils et qu'était le but de ces centaines de pierres ? Une fois que les caractères eus étaient retranscrits, le Dr. Tsum Um Nui a commencé la tâche laborieuse d'essayer de décoder le message. Par la suite, il a commencé à accomplir le progrès. Un mot a émergé. Puis d’autres. Une expression est devenue compréhensible, puis une phrase entière. Il avait déchiffré le code.

     

     

     

     

     

    Il a apprit que les messages sur les pierres ont été écrits par un peuple qui s'est appelé les Dropa. Mais ce que disait le message a 12.000 ans. Ce que le Dropa avait écrit doit avoir été l'un de leurs mythes culturels, ou faisait partie d'une certaine cérémonie religieuse préhistorique.

    Quand il a fini la traduction comme il pouvait, le professeur s'est assis en arrière dans sa chaise dans l'incrédulité. L'histoire des Dropa n'était rien de moins qu’étonnante. Comment ses collègues réagiraient-ils ? Comment le monde pourrait-il réagir si cette histoire était vraie ? Le professeur a préparé un papier sur ses résultats et l'a présenté à l'université pour la publication. Leur réaction était rapide et emphatique : le papier ne serait pas édité. L'académie de la préhistoire l'a expressément interdit d'éditer ou même de parler de ses résultats. Le monde, ne devrait rien savoir sur les Dropa.

     

     

     

     

    Les résultats du Dr. Tsum Um Nui ont été par la suite édités, cependant. Juste deux ans après, il a édité le papier, pour quelques comptes, l'académie s'est radoucie et a donné la permission au professeur d'éditer le papier, et pour d'autres comptes il l'a édité en dépit de l'interdiction officielle. Dans l'un ou l'autre cas, sa traduction et sa théorie ont rencontrées le ridicule par l'établissement d'archéologie. La traduction était tout juste bonne à prendre à la valeur nominale ou comme compte historique. Il changerait tout ce que nous savons sur notre histoire et de l'humanité dans l'univers.

     

    CE QUE LES PIERRES INDIQUENT

    Les disques de Dropa indiquent l'histoire d'une sonde spatiale d'une planète éloignée qui endommagée a atterri dans les montagnes de Baian-Kara-Ula de l'Himalaya. Les occupants du vaisseau spatial les Dropa ont trouvé refuge dans les cavernes des montagnes. En dépit de leurs intentions paisibles, le Dropa ont été mal compris par les membres de la tribu qui occupaient les cavernes voisines et ils les ont chassé et également tué certains d'entre eux. Une traduction d'un des passages indique : "le Dropa est descendu des nuages dans leur avion. Nos hommes, femmes, et enfants se sont cachés dans les cavernes dix fois avant lever de soleil. Quand enfin ils ont compris la langue de signe du Dropa, ils se sont rendus compte que les nouveaux venus ont eu des intentions paisibles."

     

     

     

    Les pierres continuent pour indiquer comment les Dropa ne pouvaient pas réparer leur vaisseau spatial endommagé et ne pourraient pas retourner sur leur planète, et ainsi ont échouées sur terre. Si c'est vrai, leurs descendants ont-ils survécu ?

    Aujourd'hui, le secteur est habité par deux tribus qui, en fait, s'appellent les Dropa et les Han. Ont ne pu classer l'une ou l'autre tribu dans n'importe quelle autre race connue ; ils ne sont ni des Chinois ni le Tibétain. Les deux tribus sont de stature pygméenne, les adultes mesurant entre 3,6 et 4,7 pieds avec une taille moyenne de 4,2 pieds, et de poids entre 38 à 52 livres.

    Ils sont jaunes avec le corps minces et les têtes d'une façon disproportionnément grands, correspondant aux restes squelettiques trouvés dans les cavernes en 1938. Ils ont les cheveux clairsemés et ont de grands yeux qui ne sont pas asiatiques dans l'aspect, mais ont les iris bleu clair.

     

     

     

     

    Il y a également un conte chinois antique qui pourrait soutenir la thèse des Dropa. Le conte raconte l'histoire d'un peuple, petit, mince, jaune qui est descendu à la terre des nuages, et qui ont été évités par chacun en raison de leur maigreur.

     

    PROPRIETES ETRANGES

     

     

     

     

    En 1968, les pierres de Dropa sont venues à l'attention de W. Saitsew, un scientifique russe qui a republié les résultats d’Um Nui Tsum et a effectué des essais sur les disques qui ont indiqué quelques propriétés très particulières. Physiquement, les pierres de granit contiennent des concentrations élevées de cobalt et d'autres métaux - une pierre très dure en effet qui aurait rendu difficile pour que les personnes primitives découpent le lettrage, particulièrement avec de tels caractères minutieux.

    En examinant un disque avec un oscillographe, un rythme étonnant d'oscillation a été enregistré comme si, par le passé, ils avaient été électriquement chargés ou avaient fonctionné comme conducteurs électriques. Les pierres des Dropa ressembles à un puzzle intrigant pour des archéologues et des anthropologues. Est-ce que les visiteurs de Dropa viennent vraiment d'une certaine planète éloignée, ou leur histoire est simplement un mythe de la création qui aurait été imaginé par une culture primitive ? Si c’est le cas, il additionne un tel " mythe " au grand nombre d'histoires de cultures antiques qui réclament que leurs descendants sont venus des cieux. Si non, les pierres de Dropa pourraient représenter la première visite enregistrée d'une civilisation étrangère à notre planète. Pour l’instant, les pierres de Dropa restent non expliquées.

     


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  • LA PIERRE DE DASKA
    La carte du créateur estimée à 120 millions d'années

     

     


    Une fantastique découverte par les scientifiques de l'Université de la République Russe de Bachkirie :
    Une tablette en pierre représentant une carte en relief de l'Oural, estimée à 120 millions d'années !

    D'autres notes encore, indiquaient qu'au début du 20ème siècle, l'archéologue A. Schmidt avait également vu ces tablettes blanches en Bachkirie. Puis, en 1998, le Pr Chuvyrov et son équipe se mirent en quête... mais sans succès ; à tel point qu'ils commencaient à penser que tout cela n'était que légende. C'est alors que le 21 juillet 1999, Vladimir Kraïnov, ex-président du conseil local de l'agriculture, révéla au Pr Chuvyrov l'existence d'une tablette enfouie dans sa cour.

    Une semaine plus tard, les travaux commencèrent pour extraire la pierre de Dashka qui fut emmenée à l'Université d'Ufa pour étude. Après l'avoir nettoyée, les scientifiques n'en crurent pas leurs yeux: La pierre est en fait une carte tridimensionnelle de la région de l'Oural.

    La pierre de Dashka pèse près d'une tonne et mesure 1m 48 de hauteur pour 1m 06 de large et fait 16 cm d'épaisseur. Elle est composée de trois couches :

    - La base, épaisse de 14 cm est en dolomite.

    - La deuxième couche, ( la plus intéressante ), sur laquelle "l'image" est gravée, est en diopside, mais la technologie de son "traitement" nous est encore inconnue...

    - La troisième couche, épaisse de 2 mm, est en porcelaine de calcium et assure donc la protection de la carte contre tout impact extérieur.

     

     

     

     

     

    En plus des rivières de la région, la carte montre un système géant d'irrigation avec notamment deux systèmes de canaux de 500 m de large, 12 barrages entre 300 et 500 m de large pour 10 km de long et 3 km de profondeur chacun. Ces barrages servant à alimenter les différents réseaux ont nécessité l'extraction d'au moins 1024 m3 de terre. En comparaison, le canal de la Volga au Don semblerait n'être qu'une simple éraflure. La Belaya actuelle semble avoir été à l'origine une rivière artificielle.

    Les scientifiques ont pensé tout d'abord que cette carte pouvait être l'oeuvre des anciens chinois à cause des inscriptions verticales qui figurent sur la tablette, mais les inscriptions n'ont pu être déchiffrées même si le Pr Chuvyrov pense qu'un des symboles représente la latitude d'Ufa.

     

     

     

    Les scientifiques ont pensé tout d'abord que cette carte pouvait être l'oeuvre des anciens chinois à cause des inscriptions verticales qui figurent sur la tablette. Mais les inscriptions n'ont pu être déchiffrées même si le Pr Chuvyrov pense qu'un des symboles représente la latitude d'Ufa. Le Pr Chuvyrov et son équipe pensèrent également que la carte datait de 3000 ans, mais plus son étude avançait, plus son âge grandissait. Les datations au radiocarbone ont donné des résultats erratiques et non concluants. Une analyse plus fine de la pierre a révélé la présence en son sein de deux coquillages caractéristiques, l'un de 50 millions d'années, l'autre de 120 millions d'années. Mais rien ne permet de dire que ces coquillages n'étaient pas déjà à l'état de fossile lors de la création de la carte.

     

     

    Le Pr Chuvyrov et son équipe pensent que cette carte a été fabriquée alors que le pôle magnétique était situé en Terre François Joseph il y a 120 millions d'années !

    De nombreuses questions concernant cette pierre restent en suspens, non seulement en ce qui concerne sa datation mais également sur ses auteurs et sa fonction ? Selon le Centre de Cartographie Historique du Wisconsin, USA, qui a étudié les éléments de la pierre de Dashka, cette carte de navigation n'a pu être effectuée qu'à partir de relevés aériens. Ce type de travail est en cours au Etats-Unis. Il nécessite un traitement informatique puissant et l'utilisation de données satellitaires. Les américains prévoient l'achèvement de ces travaux d'ici 2010.

     

     

     

     

    Il semble que ceux qui vivaient à cette époque et qui ont construit cette carte n'utilisaient que les voies maritimes ou aériennes car il n'y a aucune trace de route. Les auteurs de cette carte ( une civilisation antérieure disparue ? ) n'habitaient peut-être pas à cet endroit mais prévoyaient-ils une colonisation ? Le Pr Chuvyrov est évidemment très circonspect quant aux auteurs de cette carte : "Je n'aime pas parler d'OVNI ou d'extraterrestres. Appelons donc l'auteur de cette carte simplement ''le créateur".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Son passage aux rayons X a révélé qu'elle était d'origine artificielle. Cette pierre a été usinée à l'aide d'outils de précision, son relief n'a pas pu être exécuté par un graveur de pierre. Elle ferait partie d'un "puzzle" de 340 m x 340 m, et le Pr Chuvyrov pense pouvoir localiser 4 autres éléments de l'ensemble..

    Comme le relief général de la Bachkirie n'a pas trop changé en quelques millions d'années, ils parvinrent assez rapidement à identifier le mont d'Ufa et surtout son canyon, tout ceci en tenant compte de la géologie locale ainsi que des mouvements tectoniques. A l'aide de spécialistes en cartographie, physique, géologie etc., les différentes rivières de l'Oural ainsi que la faille d'Ufa à Sterlitimak, etc. furent identifiées. Tout ceci confirme la grande ancienneté de la carte à l'échelle 1:1,1 km.

    Pendant leurs recherches, ils découvrirent dans les archives du Gouverneur général d'Ufa des notes du 18ème siècle qui rapportaient l'existence d'environ 200 tablettes de pierre gravées inhabituelles près du village de Chandar, dans la région de Nurimanov. D'autres notes indiquaient qu'aux 17ème-18ème siècles, des expéditions de scientifiques russes dans l'Oural avaient étudié 200 tablettes blanches comportant des signes et des motifs.

    Docteur en sciences physiques et en mathématiques, professeur à l'Université d'état de Bachkirie, Alexandre Chuvyrov et son étudiant chinois Huan Hun, décidèrent, en 1995, d'étudier l'hypothèse d'une migration ancienne possible des chinois en Sibérie et en Oural. Au gré de leurs expéditions en Bachkirie, ils trouvèrent plusieurs gravures rupestres en vieux chinois ( traitant surtout de commerce, de mariage et de décès ), confirmant ainsi leur hypothèse.


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