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Par Kevlion le 7 Août 2008 à 12:00
ATLANTIDE
le grand et fameux mythe de l'atlantide
tous le monde en a entendu parler un jour ou l'autre mais a t'il vraiment éxister une telle civilization
chacun cherche l'endroit ou se trouvais cette fameuse île qui a été englouti il y as des milliers d'anné
la vérité est que ce peuple a coloniser la terre entière est que c'est sur toute les cotes de l'atlantique jusqu'as la méditérané et même en égypte qu'on peut y retrouver des traces
l'endroit ou se trouvais l'île est dur a déterminer
mais la mémoire de ce peuple a traversé les ages
le premier qui a écrit un livre sur l'atlantide est platon
un phylosophe grec qui vivait a athéne née en -427 à -246 AV JC
voici ce que platon a écrit dans ces deux ouvrages
Le Timée: Il y a en Égypte, dit Critias, dans le delta, au sommet duquel le Nil partage son cours, un nome appelé saïtique, et la principale ville de ce nome est Sais, patrie du roi Amasis. Les habitants honorent, comme fondatrice de leur ville, une divinité dont le nom égyptien est Néith, et le nom grec, s'il faut les en croire, Athéné. Ils aiment beaucoup les Athéniens et prétendent être en quelque sorte de la même nation. Solon disait que, arrivé chez eux, il avait été parfaitement accueilli, qu'il avait interrogé sur les antiquités les prêtres les plus versés dans cette science, et reconnu que ni lui ni personne parmi les Grecs ne savait, pour ainsi parler, le premier mot de ces choses.
Un jour, voulant engager les prêtres à s'expliquer sur les antiquités, il entreprit de raconter ce que nous connaissons de plus ancien, Phoronée, dit le Premier, et Niobé, et, après le déluge, Deucalion et Pyrrha, avec tout ce qu'on en rapporte ; il fit la généalogie de tous leurs descendants, et essaya, en supputant les années, de fixer la date des événements. Mais l'un des plus vieux entre les prêtres de s'écrier :
« Solon, Solon, vous autres Grecs, vous serez toujours des enfants ; il n'y a pas de vieillards en Grèce ! -Que veux-tu dire ? repartit Solon -Vous êtes jeunes par les âmes, répondit le prêtre, car vous ne possédez aucune antique tradition, aucune connaissance blanchie par le temps. En voici la raison. Mille destructions d'hommes ont eu lieu de mille manières, et auront lieu, les plus grandes par le feu et les moindres par une infinité d'autres causes [ ... ] De grandes révolutions s'accomplissent dans l'espace qui environne la Terre et dans le ciel et, à de longs intervalles, les objets qui couvrent le globe disparaissent dans un vaste incendie. Dans ces circonstances, les habitants des montagnes et en général des lieux élevés et arides succombent plus tôt que ceux qui demeurent au bord des fleuves ou de la mer. Pour nous, le Nil, notre sauveur ordinaire, nous a sauvés de cette calamité en débordant. Lorsque, d'un autre côté, les dieux purifiant la Terre par les eaux, la submergent, les bouviers et les pâtres sont, il est vrai, à l'abri du fléau sur les montagnes, mais les habitants de vos villes sont entraînés dans la mer par le courant des fleuves. Or, dans notre pays, ni alors ni en aucun cas, les eaux ne se précipitent jamais des hauteurs sur les campagnes ; au contraire, elles jaillissent de dessous terre. Voilà pourquoi on dit que c'est chez nous que se sont conservées les plus vieilles traditions. La vérité, c'est que dans tous les pays où les hommes ne sont pas mis en fuite par des pluies excessives ou par d'extrêmes chaleurs, ils subsistent toujours en plus ou moins grand nombre. Aussi, soit chez vous, soit ici, soit dans toute autre contrée connue de nous, il ne s'est rien fait de beau, ou de grand, ou de remarquable en quoi que ce soit, qui n'ait été depuis longtemps consigné par écrit, et ne se soit conservé dans nos temples. Mais chez vous et les autres peuples, à peine l'usage des lettres ou de toutes les choses nécessaires aux Etats est-il institué, voici que, à de certains intervalles, pareilles à un fléau, des pluies torrentielles viennent fondre sur vous, qui ne laissent survivre que des hommes illettrés et étrangers aux muses ; en sorte que vous recommencez et redevenez jeunes, sans rien savoir des événements de ce pays-ci ou du vôtre qui remontent aux temps anciens. Et certes, ces généalogies que tu viens d'exposer, Solon, ressemblent fort à des contes d'enfants. Car, outre que vous ne faites mention que d'un seul déluge, bien qu'il eût été précédé de plusieurs, vous ignorez que la meilleure et la plus parfaite race d'hommes a existé dans votre pays, et que c'est de là, d'un seul germe échappé à la destruction, que votre ville tire son origine ; vous l'ignorez parce que les survivants, pendant plusieurs générations, moururent sans rien laisser par écrit. Autrefois, en effet, mon cher Solon, cette même ville d'Athènes que nous voyons aujourd'hui, excellait dans les travaux de la guerre et l'emportait en toutes choses par la sagesse de ses lois ; c'est à elle que l'on attribue les plus belles actions, les institutions les plus belles dont nous ayons jamais entendu parler sous le ciel. »
A ce discours, étonné et plein de curiosité, Solon dit qu'il avait prié les prêtres de lui exposer dans toute sa suite et son exactitude l'histoire de ses ancêtres.
A quoi le prêtre répondit :« Très volontiers, Solon; je le ferai non seulement par égard pour toi et ta patrie, mais surtout en considération de la déesse qui a pris sous sa protection, élevé et instruit votre ville et la nôtre ; votre ville, d'abord, mille ans auparavant, l'ayant formée d'une semence empruntée à la terre et à Vulcain ; la nôtre ensuite ; or, d'après nos livres sacrés, huit mille ans se sont écoulés depuis notre établissement. C'est donc de tes concitoyens d'il y a neuf mille ans' que je vais te faire connaître les institutions et, entre leurs exploits, le plus glorieux de tous [ ... ] Nos livres racontent comment Athènes détruisit une puissante armée qui, partie de l'océan Atlantique, envahissait insolemment et l'Europe et l'Asie. Car, alors, on pouvait traverser cet océan. Il s'y trouvait en effet une île, située en face du détroit que vous appelez dans votre langue les Colonnes d'Hercule. Cette île était plus grande que la Libye et l'Asie réunies ; les navigateurs passaient de là sur les autres îles, et de celles-ci sur le continent' qui borde cette mer vraiment digne de ce nom. Car pour tout ce qui est en deçà du détroit dont nous avons parlé, cela ressemble à un port dont l'entrée est étroite, tandis que le reste est une véritable mer, de même que la terre qui l'entoure a tous les titres à être appelée continent.
Or, dans cette île Atlantide, des rois avaient formé une grande et merveilleuse puissance qui dominait l'île entière, beaucoup d'autres îles, et même plusieurs parties du continent. De plus, dans nos contrées, en deçà du détroit, ils étaient maîtres de la Libye jusqu'à l'Égypte, et de l'Europe jusqu'à la Tyrrhénie. Eh bien, cette vaste puissance, réunissant toutes ses forces, entreprit un jour d'asservir d'un seul coup notre pays, le vôtre, et tous les peuples situés de ce côté du détroit. C'est dans ces conjonctures, ô Solon, que votre ville fit éclater à tous les regards son courage et sa puissance. Elle l'emportait sur tous les peuples voisins par sa magnanimité et son habileté dans les arts de la guerre: à la tête des Grecs, d'abord, puis seule, par la défection de ses alliés, elle brava les plus grands dangers, triompha des envahisseurs, dressa des trophées, préserva de l'esclavage les peuples qui n'étaient pas encore asservis et, pour les autres situés, ainsi que nous, en deçà des Colonnes d'Hercule, les rendit absolument tous à la liberté. Mais, dans les temps qui suivirent, eurent lieu de grands tremblements de terre, des inondations et, en un seul jour, en une seule nuit fatale, tout ce qu'il y avait de guerriers chez vous fut englouti à la fois dans la terre entrouverte, et l''île Atlantide disparut sous la mer. C'est pourquoi aujourd'hui encore on ne peut ni parcourir ni explorer cette mer, la navigation trouvant un insurmontable obstacle dans la quantité de vase que l''île a déposée en s'abîmant...le Critias :
(Platon reprend, pour le compléter, le récit, ébauché dans le Timée)." ... Nous avons déjà dit, au sujet du tirage au sort que firent les dieux, qu'ils partagèrent toute la terre en lots plus ou moins grands suivant les pays et qu'ils établirent en leur honneur des temples et des sacrifices."
...C'est ainsi que Poséidon, ayant eu en partage l'île Atlantide, installa des enfants qu'il avait eus d'une femme mortelle dans un endroit de cette île que je vais décrire. Du côté de la mer, s'étendait, par le milieu de l'île entière, une plaine qui passe pour avoir été la plus belle de toutes les plaines et fertile par excellence. Vers le centre de cette plaine, à une distance d'environ cinquante stades, on voyait une montagne qui était partout de médiocre altitude. Sur cette montagne habitait un de ces hommes qui, à l'origine, étaient, en ce pays, nés de la terre. il s'appelait Evénor et vivait avec une femme du nom de Leucippe, ils engendrèrent une fille unique, Clito, qui venait d'atteindre l'âge nubile, quand son père et sa mère moururent. Poséidon, s'en étant épris, s'unit à elle ...
"...Lui-même embellit l'île centrale, chose aisée pour un dieu. Il fit jaillir du sol deux sources d'eau, l'une chaude et l'autre froide, et fit produire à la terre des aliments variés et abondants. Il engendra cinq couples de jumeau mâles, les éleva, et, ayant partagé l'île entière de l'Atlantide en dix portions, il attribua au premier né du couple le plus vieux la demeure de sa mère et le lot de terre alentour, qui était le plus vaste et le meilleur; il l'établit roi sur tous ses frères et, de ceux-ci, fit des souverains, en donnant à chacun d'eux un grand nombre d'hommes à gouverner et un vaste territoire. Il leur donna des noms à tous. Le plus vieux, le roi, reçut le nom qui servit à désigner l'île entière et la mer qu'on appelle Atlantique, parce que le premier roi du pays à cette époque portait le nom d'Atlas. Tous ces fils de Poséidon et leurs descendants habitèrent ce pays pendant de longues générations...."
...Et voilà comment tout était disposé autour du palais des rois :
" Quand on avait traversé les trois ports extérieurs, on trouvait un mur circulaire commençant à la mer et partout distant de cinquante stades de la plus grande enceinte et de son port. Ce mur venait fermer au même point l'entrée du canal du côté de la mer...."
...Pendant de nombreuses générations, tant que la nature du dieu se fit sentir suffisamment en eux, ils obéirent aux lois et restèrent attachés au principe divin auquel ils étaient apparentés. Ils n'avaient que des pensées vraies et grandes en tout point, et ils se comportaient avec douceur et sagesse en face de tous les hasards de la vie et à l'égard les uns des autres. Aussi, n'ayant d'attention qu'à la vertu, faisaient-ils peu de cas de leurs biens et supportaient-ils aisément le fardeau qu'était pour eux la masse de leur or et de leurs autres possessions. Ils n'étaient pas enivrés par les plaisirs de la richesse et, toujours maîtres d'eux-mêmes, ils ne s'écartaient pas de leur devoir. Tempérants comme ils étaient, ils voyaient nettement que tous ces biens aussi s'accroissaient par l'affection mutuelle unie à la vertu, et que, si on s'y attache et les honore, ils périssent eux-mêmes et la vertu avec eux. Tant qu'ils raisonnèrent ainsi et gardèrent leur nature divine, ils virent croître tous les biens dont j'ai parlé. Mais quand la portion divine qui était en eux s'altéra par son fréquent mélange avec un élément mortel considérable et que le caractère humain prédomina, incapables dès lors de supporter la prospérité, ils se conduisirent indécemment, et à ceux qui savent voir, ils apparurent laids, parce qu'ils perdaient les plus beaux de leurs biens les plus précieux, tandis que ceux qui ne savent pas discerner ce qu'est la vraie vie heureuse les trouvaient justement alors parfaitement beaux et heureux, tout infectés qu'ils étaient d'injustes convoitises et de l'orgueil de dominer. Alors le dieu des dieux, Zeus, qui règne suivant les lois et qui peut discerner ces sortes de choses, s'apercevant du malheureux état d'une race qui avait été vertueuse, résolut de les châtier pour les rendre plus modérés et plus sages. A cet effet, il réunit tous les dieux dans leur demeure, la plus précieuse, celle qui, située au centre de tout l'univers, voit tout ce qui participe à la génération, et, les ayant rassemblés, il leur dit : ... "
edgar cayce un grand voyan raconte l'histoir de l'Atlantide
L'Atlantide. Les lectures de Cayce affirment l'existence de l'Atlantide, un vaste continent avec une technologie de pointe dont les réfugiés ont peuplé l'Égypte antique et les régions pré-Colombiennes d'Amérique. La description de Cayce de l'Atlantide a beaucoup en commun avec celle de Ignatius Donnelly. D'après Cayce, la société atlante a été divisée en deux factions politiques d'une grande longévité -- une "bonne" faction appelée les "fils de la loi d'Un," et une faction "mauvaise" appelée les "fils de Belial." Beaucoup de personnes aujourd'hui vivantes sont les réincarnations des âmes d'Atlantean, qui doivent maintenant faire face aux mêmes tentations qu'avant. À cet égard Cayce a également prévu la venue d'une certaine 'pierre bleue 'd'origine atlante, qui devait être trouvé sur "une île des Caraïbes" et devait avoir le pouvoir de guérir. En 1974 une pectolite bleu volcanique maintenant connu sous le nom de Larimar a été trouvée en République dominicaine. Dans les cercles métaphysiques on dit que cette pierre gemme colorée peut soigner ; comme avec la plupart des cristaux et pierres gemmes, il n'y a aucune preuve scientifique à ce sujet. L'Atlantide a souffert de 3 destructions principales dont un déluge. Selon les lectures, une source importante d'agitation était le désir des fils de Belial d'exploiter les Choses ', des sous-humains (de corps animal et peu intelligents), contre celui des fils de la loi d'Un, voulant les protéger. La destruction de l'atlantide vint d'une surcharge du cristal qui a causé une gigantesque explosion.plus d'info sur edgar cayce sur ce lien
Ours Blanc
un amérindien raconte l'histoir de l'atlantide et de Mu de deux civilizations qui se sont fait la guerre il y as plus de 10000 ans
l'EGYPTE celon Platon elle aurait été une colonie atlante
alors il doit surment rester des traces de cette civilization la bas
les Etrange hieroglyphe du temple d'abydos
Les Egyptologue voi sa comme des Palimpseste
voici leur explication:
"Le voila, le palimpseste du temple d'Abydos. Ce terme un peu barbare désigne en fait la retouche faite par un artiste de l'antiquité pour effacer le nom de Sethy 1er et le remplacer par celui de Ramsès 2. Ensuite avec le temps, les rajouts de matière dans les premiers hiéroglyphes ont disparu et aujourd'hui, les deux textes se chevauchent laissant place à d'étranges dessins, un hélicoptère, un sous marin, un vaisseau spatial..."
moi je trouve c'est ce que je pense personellement que c'est un peu gros que après toute ces anné en mélangant ses deux texte on arrive a trouver un hélicot un sous marin un OVNI les un a coter de les autres
sa fait une sacrer coincidence
Moi je pense que c'est une des preuve soi de l'éxistance d'ancienne civizations très avancer comme l'atlantide qui celon Platon a coloniser l'égypte soi de l'éxistance d'une vie ailleur très intéligente
mais sa reste mon point de vue personelle
Les Pyramide de gizeh et le sphinx ne serait t'elle pas l'oeurvre d'une civilization très avancer comme les atlantes
plûto que du peuple égyptien qui ne possèdais pas la moindre grue
ni d'esclave a la période de construction des pyramides
cliquer sur le lien pour plus de détail sur les pyramideset le plateau de gizehPour consolider son argumentation, West chercha à savoir à quelle époque la roche aux alentours du Sphinx avait été taillée pour la première fois... «détail qui lui permettrait de déterminer la période de construction du monument.Il fit ainsi venir un sismologue de Houston, Thomas Dobecki. En étudiant l'état des sédiments autour du Sphinx, Dobecki pensait en effet pouvoir dater sa construction de manière fiable, partant du principe que plus l'érosion de la roche par l'eau serait profonde, plus sa durée d'exposition à la pluie aurait été longue.
Selon les analyses de Dobecki, le corps du Sphinx aurait effectivement été taillé par étapes et l'avant du monument, plus fortement érodé, serait plus ancien que l'arriére, d'environ 3000 ans. Au cours de ses experiences le professeur Dobecki décela l'existence de tunnels inconnus et d'une vaste salle rectangulaire située cinq mètres en dessous des pattes avant du Sphinx. Selon Dobecki, cette chambre aurait été realisee par l'homme...voici ce qu'avai révéler edgar cayce
« En terre égyptienne, dans un lieu où l'on pénètre à partir de la patte droite du Sphinx, se trouve la salle des archives de l'humanité. Ces archives vont depuis le commencement des temps où l'esprit prit forme et commença à descendre sur cette Terre. Elles comportent l'histoire de toutes les nations de la Terre, l'histoire de la destruction finale de l'Atlantide, et l'histoire de la construction de la Pyramide de l'Initiation, avec les noms des individus, des lieux, avec les dates et les temps où ces archives seront à nouveau ouvertes…
Car, avant le changement d'époque, ("avant le changement d'époque" = avant le passage à l'Ère du Verseau) la vérité sera révélée. On retrouvera ces documents. Mais on ne pourra pénétrer dans les salles souterraines, en partant de la patte droite du Sphinx, que lorsque les temps seront révolus et que les changements auront été accomplis dans cette phase de l'existence humaine. »
Edgar Cayce - 1933
Depuis juillet 2002 un mur est construit autour du plateau des pyramides de Gizeh. Des gardes armés surveillent la zone et dirigent les touristes vers des sites rigoureusement sélectionnés par les autorités. Les ouvriers y travaillant 24/24 dans la plus grande discrétion.
Le mur dispose de fondations enterrées et consolidées par des barres en acier de 10 cm d’épaisseur. Il s’élève sur une hauteur de 4 à 7 mètres sur environ 8 kilomètres carrés et à plus d’un kilomètre des pyramides. Le plus étonnant est que ce mur englobe également des habitations qui ont étés déplacées et le cimetière arabe. Le chercheur Jim Hurtak a même déclaré que des couloirs, des tombes et des tunnels non explorés se situaient dans cette zone.
S’agit-il vraiment de protéger les places archéologiques des terroristes ou de mettre à l’abri du regard les futurs découvertes dans ces tunnels non encore explorés ?
Selon les rumeurs, en 2001, une chambre secrète aurait été découverte à proximité des pattes du Sphinx, mais elle aurait été classée (et serait encore) top secrète sous la pression de la CIA. Or, une autre médium, Monique Mathieu, déclara en 2000 qu’un nouveau crâne de cristal était sur le point d’être découvert en Egypte, et qu’il révèlerait au monde l’immense connaissance acquise par les civilisations oubliées (l'histoire de ces mystérieux crânes fera l'objet d'un futur post).
Une étude réalisée par John West arriva à la conclusion que le corps du Sphinx était à l’origine celui d’un lion taillé 10.500 ans avant notre ère.
Il est orienté vers le point d’équinoxe où se lève le soleil le 21 mars. Or il y a 10.500 ans, le soleil se levait dans la constellation du lion à l’équinoxe vernal. Pour lui, ce n’est que beaucoup plus tard que Pharaon fit retailler sa tête à son effigie (ce qui serait à l’origine de la disproportion actuelle du monument). D'après les traces d’érosions encore visibles, le Sphinx aurait également subit le déluge 10.500 ans avant notre ère (Par contre pour certains géologues, l'érosion importante du corps viendrait du fait qu'il est taillé dans une couche de calcaire plus friable que celle constituant la tête. Cet argument n'explique pas, par contre, la disproportion évidente entre la tête et le corps!)
Le même déluge qui engloutit l’Atlantide (date que Platon évoqua également pour la disparition de ce continent). En 1933, Edgar Cayce ("Les mystères de l’Atlantide revisitée") avait donné une vision médiumnique du site de Gizeh. Selon lui, à proximité du Sphinx, une salle d’archive secrète renfermait l’histoire de toute l’humanité. Il ajouta qu’une colonie rescapée de l’Atlantide édifia en Egypte les bases d’une nouvelle civilisation avec l'aide d'une civilisation issue d’Orion.
En tout état de cause, les scientifiques tendent aujourd'hui à penser que le Sphinx est beaucoup plus ancien qu'on ne la précédemment admis, et les égyptologues n'ont pas encore trouvé de riposte convaincante aux conclusions de Schoch. Mais la principale question soulevé demeure : qui a construit le Sphinx et comment? De plus en plus de chercheurs considèrent désormais que ce subit «vieillissement» du Sphinx apporte des élmients confortant la these d'une civilisation avancée, disparue depuis lors, et qui pourrait être l'Atlantide.
En 1993, lorsque John West soutint cette hypothèse de manière explicite, il attira sur lui les foudres de Zabi Hawass, directeur général des Pyramides de Gizeh. Ce dernier décida en conséquence d'interdire à West et à son équipe de poursuivre leurs recherches sur le site. Bizarrement on a depuis lors constaté un changement d'attitude radical de la part des autorités égyptiennes. En avril 1996, une nouvelle autorisation permettant la poursuite de l'exploration du Sphinx fut accordée à un certain Joseph Schor, millionnaire américain possédant des liens étroits avec l'ARE, riche et influente organisation internationale promouvant: les enseignements d'Edgar Cayce.les crânes de crystal
plus de détaille sur ce lien
Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie.
Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel !!!les crânes sont d'une très grande complexiter et ne possède pas de marque d'usinage ont ne sais pas comment les maya aurai t'il pu faire de telle crâne
Le triangle des bermudes
d'étrange disparition de centaine de bateau
et de dizaine d'avionS
ainssi que de nombreux témoignage rende cette zone très étrange
beaucoup de témoin affirme avoir vue des OVNI venir du ciel est aller dans l'eau
est ce les survivants atlantes ayant sombrer dans l'eau mais vivant toujour
dans l'océan atlantique??
Atlantide en 12
envoyé par KEVLION25kévin Grossi
la plus belle des vérité c'est celle qui vien du coeur
1 commentaire -
Par Kevlion le 3 Août 2008 à 16:29
ATLANTIS CONTRE MU
"Les rescapés de Mu"
Quelques ouvrages sortent parfois de l’ordinaire. Celui que vous allez parcourir fait partie de ceux là.
Il existe peu de documentation traitant du continent de Mu et pratiquement aucune sérieuse relatant la guerre qui opposa ce continent du pacifique aux habitants de l’île d’Atlantis… Les lignes qui vont suivrent risquent de toucher bon nombre d’entre vous. Il s’agit du témoignage d’un Indien Hopi (Ours Blanc) qui relate avec beaucoup de générosité l’histoire de ses ancêtres‚ celle qui s’est transmise de génération en génération et ceci pendant des milliers d’années…
Ours Blanc raconte l’histoire de son peuple‚ les Hopis‚ et les relations qu’il a su garder avec le créateur et ses auxiliaires célestes‚ les différents Kachinas. Il nous dévoile cette guerre absurde qui opposa ses ancêtres qui vivaient sur Mu (Kásskara) au peuple d’Atlantis (Talawaitichqua) et la destruction de ces deux mondes. Le monde d’Atlantis est décrit comme une société en pleine décadence. Ours Blanc relate ainsi le pénible exile de son peuple vers le continent américain il y a 80.000 ans‚ ce qui discrédite pleinement la thèse de l’arrivée des Indiens il y a 10 à 12.000 ans par le détroit de Béring…
Voilà donc un récit remarquable à bien des égards ! Ce document n’a jamais été traduit en anglais et encore moins en français. Il provient d’un livre en allemand édité en 1979 et intitulé "Kásskara und die Sieben Welten" (Kásskara et les Sept Mondes). Nous avons traduit pour vous uniquement la partie qui concerne le témoignage d’Ours Blanc‚ soit un tiers de l’ouvrage. Le reste étant une remarquable analyse du récit d’Ours Blanc rédigée par l’auteur du livre‚ Joseph F. Blumrich. Nous avons ajouté quelques photographies et légendes qui ne font pas partie de l’ouvrage original afin de donner plus de vie à ce dossier.
Joseph F. Blumrich a travaillé à la NASA de 1959 à 1974. Il a notamment participé à la conception de la structure du propulseur de Saturn V qui permit aux astronautes américains d’aller officiellement fouler le sol de la Lune. Il a aussi collaboré à la conception de Skylab.
Je m’étonne que son ouvrage ne soit jamais sorti en dehors du territoire germanique. Malheureusement‚ Joseph F. Blumrich est décédé en 2002. Ce n’est donc pas demain que son travail sera apprécié à sa juste valeur. Cette traduction n’a pour but que de diffuser la vérité au plus grand nombre. Que ceux qui veulent savoir prennent le temps de lire…Anton Parks, octobre 2005
Ce dossier est dédié à Joseph F. Blumrich et à Ours Blanc
Préface de Joseph F. Blumrich
Dans notre histoire‚ il y a eu des hommes qui reconnaissaient clairement combien ils savaient peu de choses. Mais‚ il en a existé d’autres qui croyaient tout savoir.
Aujourd’hui ce sont les équations différentielles‚ les ordinateurs et les statistiques qui l’emportent. Les faits solides expliquent tout et le savoir qui provient de la croyance ne vaut guère plus qu’une bulle de savon !
Il existe des courants qui partant de la beauté d’une bulle de savon arrivent à des conclusions surprenantes. Des changements s’annoncent et jettent leur ombre en avant - ou devrions-nous plutôt dire leur lumière ?
C’est pourquoi‚ parmi nous‚ ceux qui cherchent la vérité écoutent - ou commencent à écouter - peut-être des mots venant de sources qui ne sont pas influencées par notre sorte de logique‚ notre manière de penser ou nos traditions. Ce sont des mots qui sont exprimés par des êtres humains qui proviennent d’un monde lointain qui nous est totalement étranger.
Peut-être aimerions-nous établir des relations‚ former des ponts pour pouvoir comprendre ce dont on parle de l’autre côté ?
D’une manière très humble‚ ce livre aimerait contribuer à former de tels ponts. Le livre "Book of the Hopi" m’a donné la meilleure introduction au monde des Hopis. Il m’a permis de reconnaître les ficelles subtiles qui se trouvent dissimulées sous la surface de nos faits solides.
Quelques circonstances que l’on pourrait appeler coïncidences - je n’y crois pas - ont conduit ma femme et moi chez Ours Blanc et sa femme Naomi. Il s’en suivit un temps long - il semblait long mais ne dura que quelques années - jusqu’à l’instauration d’une confiance mutuelle. Enfin‚ Ours Blanc commença à parler. C’était à moi‚ non seulement de l’écouter‚ mais également à apprendre et à comprendre un monde totalement nouveau pour moi.
Comme il fallait s’y attendre‚ la tentative de former un pont entre deux mondes si différents comme celui des Indiens et le nôtre était accompagnée de difficultés de compréhension. Mais‚ il me semble néanmoins que pour diverses raisons‚ notre relation a été favorisée par la chance. L’histoire familiale d’Ours Blanc‚ ainsi que son rôle lors les préparatifs pour le livre "Book of the Hopi" lui a procuré un regard sur les traditions de son peuple qui est sans doute plus vaste que celui de n’importe quel Hopi aujourd’hui. Sa capacité intuitive artistique lui a permis de dessiner et de peindre des images murales qu’il était impossible de se procurer d’une autre manière. Les trois ans de sa vie passée dans notre société occidentale lui ont souvent facilité à donner des explications sous forme d’exemples. De tels éclaircissements étaient nécessaires afin de rendre sa façon de s’exprimer compréhensible pour des gens extérieurs.
D’un autre côté‚ sa connaissance de notre monde‚ n’a jamais conduit Ours Blanc à s’écarter des traditions de sa tribu. Dans la présentation de faits‚ événements et particularités‚ il a toujours été imperturbable. En ce qui concerne sa tribu‚ ses traditions ou religion‚ il est rempli d’une profonde solennité. Si j’ai jamais rencontré un homme qui aiment et préserve passionnément ses racines et convictions ainsi que celles de sa tribu‚ c’est bien Ours Blanc. Son état d’esprit est l’un des principaux piliers de ma conviction en ce qui concerne son intégrité‚ qui devait bien naturellement être démontrée.
J’ai découvert une différence fondamentale entre la façon de penser d’Ours Blanc et la mienne qui reflète non seulement notre origine oppositionnelle‚ mais jette également un trait de lumière sur les problèmes du présent. C’est la différence - et le conflit - entre le savoir qui provient de la croyance et celui basé sur des preuves tangibles. L’incident suivant en rend compte :
J’avais suivi l’affirmation des Hopis concernant les îles par lesquelles ils seraient venus en Amérique du Sud. Et j’avais effectivement trouvé les confirmations décrites plus bas. Cette découverte m’avait enthousiasmé et lorsque j’ai eu l’occasion d’en parler à Ours Blanc‚ j’ai attendu de sa part une réaction similaire. Au lieu de cela‚ il me regarda avec ses yeux sereins et tranquilles et me dit : “Je te l’avais bien dit que nous étions venus par ce chemin‚ n’est-ce pas ?”
Il faut mentionner que notre travail était strictement dirigé sur des développements historiques et leur signification et il n’existait aucune intention de créer une réplique du livre remarquable "Book of the Hopi".
Le texte transcrit dans la première partie est exclusivement le récit d’Ours Blanc. Il provient de bandes enregistrées qu’il a réalisées lui-même dans ce but‚ ainsi que de nos conversations enregistrées qui étaient nécessaires et servaient à éclaircir‚ compléter et arrondir de l’image. Toutefois‚ comme déjà indiqué‚ j’ai collaboré avec lui pour chercher des formulations et exemples en vue d’une meilleure compréhension‚ c’était ma tâche en temps qu’intermédiaire. En dehors de cela‚ ma participation à cette partie a contribuée à fixer le contenu dans une forme facilement lisible. Les propres mots d’Ours Blanc et ses manières de s’exprimer sont restés intactes autant que possible. En outre‚ la disposition des chapitres et sous-paragraphes ont été réalisés par moi-même. Afin de pouvoir plus facilement retrouver les différentes phases et thèmes.
Ma contribution à l’écriture de la première partie était guidé dans l’intention inconditionnelle de retranscrire le contenu et la forme des révélations d’Ours Blanc sans modifications et autant que possible avec ses propres mots.
Joseph F. BLUMRICH
(1913-2002)Kásskara et les sept mondes
L’histoire de l’humanité selon la tradition des Indiens Hopis
Ecrit au printemps 1979
Edition actualisée‚ Munich‚ 1985Traduction Hans W. Lintz - Copyright 2005
Révision et mise en forme : Hakomi- INTRODUCTION
- LES TEMPS ANCIENS
-
LE TROISIEME MONDE
Kásskara
Atlantis -
LA DESTRUCTION DU TROISIEME MONDE
Les Kachinas
La migration dans le quatrième monde
Le destin des Atlantes -
TOOWAKACHI‚ le quatrième monde
Táotoóma‚ la terre
La ville Táotoóma
Nouvelles migrations
Les migrations du clan de l’ours
Les anciens qui venaient du ciel
Palátquapi
La Grande Ecole du savoir
Malheur et déchéance
Háhäwooti
Le combat entre le clan du serpent et le clan de l’arc
L’éclatement
Casas Grande
Oraibi
Húck’ovi
Arrivée des Espagnols à Oraibi -
LES LEGENDES
Yucca-Boy - L’ENERGIE
- LES SYMBOLES
- LE MOT DE LA FIN
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