• Dogons

    source:WIKIPEDIA

    Les Dogons sont un peuple du Mali en Afrique de l'ouest . Leur population est estimée à 700 000 personnes. Ils occupent la région qui va de la falaise de Bandiagara au sud-ouest de la boucle du Niger. Quelques Dogons sont installés dans le nord du Burkina Faso, d'autres se sont installés en Côte d'ivoire.

    Les Dogons sont avant tout des cultivateurs (essentiellement du mil ) et des forgerons. Ils sont réputés pour leur cosmogonie et leurs sculptures. La langue parlée par les Dogons est le dogon qui regroupe plusieurs dialectes. Il existe aussi une langue secrète, le sigi so, langue réservée à la société des masques. Les Dogons sont liés avec l'ethnie des Bozos par la parenté plaisanterie. Dogons et Bozos se moquent réciproquement mais parallèlement se doivent assistance.

     

    la religion dogon

    les dogons sont monothéistes

    Les Dogons croient en un dieu unique, Amma. Il créa la terre et en fit son épouse qui lui donna un fils, Yurugu ou le « Renard pâle ». C’était un être imparfait qui ne connaissait que la première parole, la langue secrète sigi so. La terre donna ensuite à Amma un couple d'enfant jumeaux appelés Nommo. Ceux-ci étaient à la fois mâle et femelle. Maîtres de la parole, ils l’enseignèrent aux huit premiers ancêtres des hommes, quatre couples de jumeaux, nés d'un couple façonné dans l'argile par Amma.

    mais aujourd'hui la plupart d'entre sont musulman

     

    http://www.gonomad.com/destinations/0703/mali-gallery-images/Dogon-Dancers7.jpg

     

    La légende de Sirius 

    L'image “http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f3/Sirius_A_and_B_Hubble_photo.jpg/300px-Sirius_A_and_B_Hubble_photo.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

    Si le « Dieu d'eau » est une interprétation inconsciente de la cosmogonie dogon, c'est à Robert KG Temple  auteur lié aux mouvements ésotériques que nous devons la description courante de la cosmogonie dogon dans son ouvrage The Sirius Mystery (1976) :

    Les Dogons considèrent que l’origine du monde vient d’une étoile nommée Digitaria, voisine de Sirius (appelée Sigui tolo). Ce serait la plus petite et la plus lourde des étoiles et contiendrait le germe de toute chose. Cette étoile serait Sirius B, une naine , effectivement une étoile très dense et très lourde mais celle-ci ne fut découverte qu'en 1844 par Friedrich wilhelm bessel et Alvan clark qui calculèrent que sa révolution autour de SIrius était d’environ 50 ans. 60 ans est la durée entre deux cérémonies du Sigui, la principale cérémonie des Dogons.

    De plus, selon la cosmogonie dogon,Sirius aurait un deuxième satellite, ou plutôt une étoile compagnon, mais il fallut attendre 1995  pour que Jean-Louis Duvent et Daniel Benest , astronomes à l’observatoire de Nice guidés par des irrégularités apparentes du mouvement de Sirius, soupçonnent l'existence d'une naine rouge hypothétique. À ce jour, l'existence d'une éventuelle Sirius C n'a pas été confirmée.

    Dans ce même ouvrage, Robert KG temple n'hésite pas à affirmer que les Dogons tiennent leur savoir ancestral des suites de la visite chez eux d'extraterrestres amphibiens venus de Sirius.

    Une équipe conduite par un ethnologue belge, Walter Van beek, passa une dizaine d'années chez les Dogons à partir de 1991. Elle conclut n'avoir trouvé aucune trace d'une tradition autour de Sirius dans la cosmogonie dogon telle que l'avait décrite Marcel griaule et Robert KG temple

    Il n'en reste pas moins vrai que la cosmogonie dogon intègre des faits astronomiques non observables à l'œil nu :

    • les quatre gros satellites de Jupiter
    • les anneaux de Saturne 
    • Neith, le satellite de Vénus . Or ce dernier qui n'existe pas a pourtant été validé pendant deux siècles par la communauté astronomique (sa pseudo-découverte remonte à 1645). Cette erreur astronomique prouve bien que les Dogons ont été visités entre le 17e et le 19e siècle par un érudit qui leur a transmis une partie du savoir astronomique de l'époque, et qui a eu une influence non négligeable dans la réécriture de leur cosmogonie

    http://rennes.plateau.dogon.free.fr/gif/mali_carte_r.gif

    les dogons vive au mali

     

    comment les dogons pouvaient t'ils connâitre de telle conaissance sur sirius et d'autre planête

    d'ou leur vien un telle savoir serait'il vraiment des desendant d'un peuple venue de sirius il y as des milliers d'année??

    le mystère reste ouvert


    La cosmogonie des Dogons
    envoyé par Enki_iz_Back

     


    1 commentaire
  • uNE CITE ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH -
    http://imagecache2.allposters.com/images/pic/FIP/EG-00020-C~Pyramides-de-Gizeh-chameaux-Egypte-Affiches.jpg
    Témoin gênant d’une civilisation très avancée

    Par Tony Bushby ” 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia.
    Site web : http://www.joshuabooks.com



    Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg. De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, lacs et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité. L’information relayée par les médias jusqu»en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.

    L’histoire oubliée des pyramides
    Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères. Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.
    Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les "maîtres des chasses royales", pêchaient et chassaient au boomerang.1 Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme "une infinie merveille". Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer. Selon les prêtres du Labyrinthe, "les passages étaient déroutants et complexes", destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :
    Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, etait entourée d’une colonnade. Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés animauxdont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterraines la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine (op.cit. "Gizeh anciennement Memphis", sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Egypte et en Nubie, 1757, page 152 du chapitre précédent). Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.
    Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx : 2
    Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée. Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.

    Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était "un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion". Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que "Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer", mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers "la demeure secrète des Anunnakis" n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
    La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la "tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor" et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois "Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus". Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.3
    Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.

    Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une "étrange chose" bloquant l’entrée, côté fleuve. Il rapporte l’épisode suivant :
    A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : "Ne me suivez pas et ne me cherchez pas", avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.

    Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : "elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau". Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.
    Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre "La Guerre des Etoiles". Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout "sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis". Massoudy prétendait que "les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre". C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes "dignes" aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : "J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues".
    Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.
    Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de "l’organisation de salles souterraines" par les créateurs originels de Memphis. Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993. La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé "Le Mystère du Sphinx", vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre :

    Mystérieux Tunnel dans le Sphinx :
    Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux. Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.4

    L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile. Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans "une salle secrète au-dessous du sol" et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.
    Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section "Le Plan Principal" à la fin du livre.)
    En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal. Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.
    Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs. Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour. Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau. Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles. L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le "Chemin d’Horus" à travers le nord Sinaï.



    De gros titres d’actualités
    Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique.
    Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi. Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).
    En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées. Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte. Il déclarait : Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales.

    A peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle. Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années.
    Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée. Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.
    Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de "Tombeau de Campbell", sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et "ce complexe", dit le Dr Selim Hassan, "se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres." Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut.
    La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.
    Elle fut appelée "Tombeau d’Osiris" et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant "ouverte pour la première fois". Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds… Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.

    Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme "un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep." Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue. L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa "Chapelle de l’Offrande", creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide. Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence. On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC), connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh. Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu). La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.
    Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais "sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception"5 fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide). Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
    On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues. Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut "profondément impressionné" par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Egypte.
    Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides. Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.

    Les archéologues responsables de la découverte furent "déroutés" par ce qu’ils avaient sorti de terre, une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais. Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes. L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ?
    Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.
    L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large. La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire. D’après les récits d’habitants "vivant sous Terre", relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal. On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. Au départ, il était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé.
    Un objet sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande. Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse.
    Des recherches historiques du 20ème siècle relatent de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide. En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes. Leur existence même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être découverts sous la croûte terrestre.
    Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.

    Démentis officiels
    Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance. Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterrainnes de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes. Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :
    Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte et d’Orient. Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Egypte. Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx.

    Cette ligne stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées. L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public. Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.

    Lampes perpétuelles
    En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié. Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis par des restes de
    D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible de d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux "Constructeurs de Lumière", et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes.
    Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh. Ils décrivirent leur expérience : Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage… les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brille de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non. Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).
    Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau. Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.

    Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à "l’autre rive". Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible. 6
    Plus tard les Grecs et les Romains maintenirent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans. Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.
    La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments. Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.
    De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173. Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.
    On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient " laine de salamandre". Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï. Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui "une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix".
    Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses.
    Il existe en Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes. D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés. Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs. Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du monde.
    Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. "Une statue en armure (un robot) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle."7 Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.
    Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix. Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme. On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable.

    NEXUS N°33 juil - aout 2004 -


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  • ruines et vestiges du passé

     

    La pile de bagdad

    Lien permanent

    nos ancêtres avaient inventé la pile il y a plus de 2000 ans

    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/2f/Ironie_pile_Bagdad.jpg/250px-Ironie_pile_Bagdad.jpg

     

    le plateau de gizeh

    Lien permanent

    http://www.jesuiscultive.com/IMG/jpg/Pyramides.jpg

    qui a réellement construit les pyramides et le sphinx de gizeh??

     

    Le temple d'ABYDOS

     Lien permanent

    on peut y retrouver d'étranges hiéroglyphes. Serait- ce le hasard qui aurait transformé d'autres hiéroglyphes en apparence très moderne??

    temple_abydos

     

     

     

     

    les pierres ICA

     

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    les pierres retrouvées au pérue où l'on peut y voir des hommes avec des dinosaures

    les pierres ica

     

    les crânes de crystal

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    les crânes de crystal

    les fameux crânes de crystal il nous faudrait 300 ans pour en faire un en le travaillant tous les jours selon les spécialistes

    un travail d'une très grande précision

     

    Teotihuacán

    teotihuacàn

     

    la cité mystérieuse de méso amérique

    ont ne sait pas qui a construit cette ville selon les aztèques c'est la ville des dieux

     

    teotihuacan1

     

    Tiahuanaco

    TIAHUANACO

    http://www.fileane.com/images/inca/porte-du-soleil.jpg

    la plus vielle ville du monde

     

     pyramide de métal en chine

    Pyramide de métal de chine

     

     

    l'île de paque

     île de paques

     

     

    les manuscrits de la mer morte

    les manuscrits de la mer morte

    http://mysterestotalbe.unblog.fr/files/2008/01/manuscritsqumrn07.jpg


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  • triangle des bermudes

     

    3 points (Miami, Porto Rico et l’île des Bermudes) formant un vaste triangle dans l’océan Atlantique. Dans ce triangle, depuis plus d'un siècle, de nombreuses disparitions inexpliquées d’avions et de navires, souvent caractérisées par leur soudaineté et l’absence d’épave. Partant de ce constat indéniable, de nombreux scientifiques et journalistes ont enquêté sur les causes de ces disparitions, sans jamais trouver d’explications fiables.
    http://9d.img.v4.skyrock.com/9dc/tragike-land/pics/854087199.jpg

    Le Triangle des Bermudes est le secteur le plus mystérieux de notre planète pour l’aéronautique et la marine. De nombreux mythes et légendes accompagnent des théories plus pragmatiques et des témoignages mystérieux.

     

    L’appellation "Triangle des Bermudes" revient au journaliste Vincent Gaddis dans un article du magazine Argosy en 1964 : "The Deadly Bermuda Triangle". Il décrit une zone coincée entre les îles des Bermudes, la Floride (Etats-Unis) et Porto-Rico, dans laquelle des disparitions inexpliquées d'avions et de navires surviennent. Situé dans l’océan Atlantique, sous le tropique du Cancer, sa superficie atteint 120 millions d’hectare.

    Cette situation tropicale combinée à des eaux chauffées par le Gulf Stream (courant marin chaud traversant le triangle des Bermudes) est propice à l’apparition régulière de violentes tempêtes, qui se transforment parfois en ouragans. Ces conditions météorologiques chaotiques sont souvent imprévisibles.
     
    Carte du triangle des Bermudes


    Mais ce n’est pas tout. La topographie des fonds marins dans le triangle est également particulière. Des bancs très étendus où les eaux sont peu profondes côtoient les fosses les plus profondes de la planète. Avec les forts courants et les nombreux récifs présents, la zone est donc relativement dangereuse pour un navigateur non averti.

    Et pourtant, le trafic maritime est extrêmement important dans cette zone. Dès le moyen age, les navires qui rentraient en Europe passaient à travers le triangle des Bermudes pour profiter des vents dominants qui leur permettaient de gagner un temps précieux. Même plus tard, les navires à vapeur puis à essence continuaient d’utiliser ce passage. Et aujourd’hui encore, beaucoup de routes maritimes le traversent.

    Le trafic aérien ne semble pas non plus avoir souffert de la légende. Beaucoup de routes aériennes entre l’Europe et l’Amérique centrale ou l’Amérique du sud passent au-dessus du triangle. De même, les avions circulant entre l’Amérique du Nord et du l’Amérique du Sud peuvent être amenés à survoler cette zone.

    Chaque jour, pour des milliers de navires et d’avions, le triangle de Bermudes est un passage quasi obligé. D’abord, parce qu’on ne change pas sa route à cause des légendes, mais aussi parce que le contournement du triangle serait une perte de temps énorme. D’ailleurs, le nom de "Triangle des Bermudes" n’est même pas reconnu par l’office américain des noms géographiques.

    Carte Bahamas
    Carte détaillée des Bahamas

     

     

    La légende du triangle des Bermudes commence avec la mystérieuse disparition du vol 19, le 5 décembre 1945.

    A environ 2h10 de l’après-midi, 5 Avenger décollent de Fort Lauderdale (Floride, Etats-Unis) pour une mission d’entraînement de routine avec 14 membres d’équipage. L’entraînement se déroule plutôt bien. Une fois la mission terminée, les appareils mettent le cap vers leur base de départ. Pendant le retour, les transmissions radio des pilotes font états de phénomènes étranges, puis le contact radio est perdu. Les 5 appareils n’arriveront jamais à leur base. Les épaves ne seront jamais retrouvées. Le rapport de la Navy conclut que la cause et les raisons de cette disparition sont inconnues. Au moment de leur disparition, les 5 Avengers survolaient la zone qui deviendra plus tard le Triangle des Bermudes.

    Cinq US Navy TBF Grumman Avenger - Similaire au vol 19

    Cinq US Navy TBF Grumman Avenger



    Les recherches sur le triangle des Bermudes montrent que de nombreux avions mais aussi des navires disparurent dans cette zone, parfois sans laisser de trace. La disparition du vol 19 n’était pas la première, et s’en est suivie de beaucoup d’autres. Les révélations de ces disparitions n’ont fait qu’amplifier le mystère.


    Parmi les nombreuses disparitions d'avions recensées dans le triangle des Bermudes, certaines sont relativement troublantes.
    • En janvier 1948,star tiger, un Tudor IV de la B.S.A.A.C. disparaît sans laisser de trace dans le triangle. L’enquête relève le caractère étrange de cette disparition. Plus surprenant encore, 1 an plus tard, Star ariel, un autre Tudor IV de la B.S.A.A.C. disparaît dans le même secteur. Les enquêteurs restent perplexes.

    Tudor IV - Star Panther

    Un Tudor IV de la BSAAC - Star Panther
    Tudor IV - Star Ariel
    Star Ariel en vol

     

    • En décembre 1948, un DC-3 de la compagnie airborne transport disparaît dans la nuit alors qu’il approchait de Miami. Aucune trace des 32 passagers et membres d’équipage et aucune épave n’a été retrouvée.

    DC-3 en vol

    Un Douglas DC-3 en vol
    • L’accident le plus tragique dans le triangle des Bermudes survint le 30 octobre 1954 : un super constellation de l'US Navy se volatilise avec ses 52 occupants. Aucune trace retrouvée.
    •  Lockheed R7V-1 Super Constellation – Vol 441
      Lockheed R7V-1 Super Constellation
    • En Août 1963, deux énormes KC-135 Stratotanker qui volaient en formation se percutent en vol  au dessus du triangle des Bermudes. Cet accident pourrait être banal, sauf que dans ce cas, le temps était clair et les appareils volaient relativement espacés.

     

    KC-135 Stratotanker
    KC-135 Stratotanker

     

    • Le 22 Février 1978, un Grumman KA-6 de l'armée américaine disparaît d’un coup alors qu’il s’apprêtait à atterrir sur un porte avion.
    Grumman KA-6 attack bomber
    Deux Grumman KA-6 en formation

     

    Beaucoup de navires ont également disparu de manière étrange dans le secteur du triangle des Bermudes. Quelques un de ces naufrages sont restés célèbres par leur caractère mystérieux. C’est le cas de l’USS cyclops, en mars 1918, disparut corps et âmes avec ses 306 passagers et membres d’équipage. Plus récemment, en 1980, un navire de 160 mètre (le SS poet)  sombra sans laisser de trace : l’enquête ne trouva aucune explication, mais en 2006, on évoqua la possibilité d’une mission secrète qui aurait mal tournée. La disparition la plus mystérieuse dans le triangle des Bermudes reste celle du SS Marine sulphur Queen en 1963.

    USS Cyclops en mer

    USS Cyclops en mer
     
    AP-152 USS General Omar Bundy
    AP-152 USS General Omar Bundy
    (C'est le SS Poet avant sa reconversion en cargo)
     
    SS Marine Sulphur Queen
    SS Marine Sulphur Queen - Son identifiant radio était : KWPO

    sur ce site

    http://www.triangle-bermudes.com

    vous aurez Liste des disparitions et accidents d’avions

    Liste des disparitions et naufrages de navires

    dans le triangle des bermudes

     

     

    théorie sientifique 

    Les théories scientifiques pour expliquer les disparitions enregistrées dans le triangle des Bermudes ne manquent pas. Bien que dans quelques catastrophes ont pu être expliquées, il faut quand même constater que personne n’arrive à comprendre vraiment ce qu'il se passe dans ce secteur.

    Certes, la disparition d’un navire ou d’un avion dans les profondeurs de l’océan est beaucoup moins étrange que ne le serait celle d’un train entre deux gares. Et aujourd’hui, il n’est pas recensé de disparition de train ! Mais le nombre de disparitions et leurs caractéristiques (disparitions soudaines et souvent aucune trace retrouvée) soulèvent de nombreuses questions.

    Au vu de la fréquentation aérienne et maritime du secteur, de son relief
    et de sa météo imprevisible , il ne s’agit peut-être que d’un phénomène stastique ou d'erreurs humaines

    Mais le Triangle des Bermudes a sans conteste des caractéristiques magnétiques peu communes, qui peuvent perturber les instruments ou faire perdre le nord à un pilote. A quoi sont dues les pertubations magnétiques 
    régulièrement enregistrées ? Et puis phénomène rare sur Terre : dans ce secteur, le nord vrai et le nord magnétique sont alignés.

    Le danger pourrait venir aussi des fonds marins, qui éjecteraient des gaz 
    qui mettraient en péril navires et avions. L’atmosphère pourrait aussi devenir menaçante si elle est proie à l’effet hutchinson.

    Peut-être faut-il chercher une explication dans plusieurs de ces théories à la fois. Il n’est d’ailleurs pas rare que la cause d’un accident d’avion résulte d'une combinaison de plusieurs facteurs, dont certains sont pourtant très improbables.

     

    Mythe du triangle des bermudes

    certains pensent que ce serait les cristaux atlantes toujours en fonctionnement au fond de l'eau

    qui déstabiliseraient les appareils de navigation des avions et des bateaux

    d'autres pensent que c'est les OVNI qui feraient des enlèvements tipiquement dans cette zone

    certains pensent qu'il y aurait un trou noir dans cette zone comme dans l'epace

    mais le mystère reste complet

     


    Le Mystere du triangle des Bermude
    envoyé par Introcrate

     


    Le Triangle des Bermudes - 1 de 3
    envoyé par Introcrate

     



    Le Triangle des Bermudes - 2 de 3
    envoyé par Introcrate

     


    Le Triangle des Bermudes - 3 de 3
    envoyé par Introcrate

     


     

    kévin Grossi

    la plus belle des vérités c'est celle qui vient du coeur

     


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  • les crânes de crystal

    Crâne de Mitchell-Hedges vue de face

     1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize.

    En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin.

    Il pèse 5 kg . Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure.

    Mâchoire

    Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes :

    • éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites.
    • Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.

    Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard.
    Après 6 mois de tests, les conclusions tombent :
    Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope

    • Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche.
    • Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque.
    • Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication ( le cristal ne vieillit pas ).
    • Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas ! ), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile.
      La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu !

    Un chercheur de l'équipe aurait déclaré :
    Ce sacré truc ne devrait même pas exister ! "

    Il existe d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établies.

    Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés "psy".

    http://www.nouvelordremondial.cc/wp-content/uploads/2007/10/crane-cristal-sha-na-ra.jpg

    sha-na-ra

    Jo Ann Parks est détentrice de "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne à la croix reliquaire.

    http://www.nouvelordremondial.cc/wp-content/uploads/2007/10/crane-de-cristal-max.jpg

    max

     

    crane a la croix reliquaire
    Crâne de Cristal à la croix reliquaire

     

    En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leur crâne au British Muséum à fin d'expertise.

    Cinq crânes ont été étudiés, les trois précédemment cités, ainsi que celui du British Muséum et celui du Smithonian Institute.

    http://www.zetetique.org/images/cranes_de_cristal/crane_de_cristal_du_british_museum.jpg

    le crâne de crystal du british muséum

    http://www.zetetique.org/images/cranes_de_cristal/crane_de_cristal_du_smithsonian_institute.jpg

    Smithonian Institute.

    Un gobelet de cristal daté d'au moins 500 ans av. J.C., et un crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne par Hans-Jürgen Henn ont servi de témoins.

    Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage.

    Quant au crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix.

    Et... silence ! Pour "Max" et "Sha-Na-Ra" : "No Comment" !!!

    Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi !!!

    Nous avons là un nouvel exemple de la démission des scientifiques devant un objet impossible.

    Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie.
    Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel !!!

     


    LES CRANES DE CRISTAL
    envoyé par unzip

     

    kévin Grossi

    la plus belle des vérité c'est celle qui vien du coeur

     

     


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